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Date de création : 28.06.2007
Dernière mise à jour : 21.08.2010
36 articles


la vie d'une adolescente

Publié le 08/09/2007 à 12:00 par jeunessemarocaine
Je voulais depuis longtemps écrire un livre qui reflète le niveau de la gloire que j’ai dessiné dans ma mémoire, le sommet de la sincérité et de l’excellence, un livre qui sera témoin du moment légendaire, lorsque l’auteur et son récit soient une seule personne, une seule âme. Je suis une adolescente, je vis alors la phase la plus dure de la vie humaine, une période de critique, qui a commencé dés mes 11ans, après la fierté de mon anniversaire, dit ma métamorphose en une jeune demoiselle, alors qu’elle n’était que la joie des alliés après avoir obtenu leur gain oubliant ainsi que la guerre a fait des ravages que le monde aura bien des difficultés à surpasser durant les quelques décennies prochaines.
I) le transfert
L’année 2001, le pilote vint me prendre au collège public près de la maison pour mon secondaire avant même de déguster le gout de mon succès lors de ma dernière année au primaire.
Mes amies, les heures de la récréation, la compétition en classe, les matchs contre les garçons pour les taquiner, les pleurs à cause d’une petite dispute pour les petits déjeuners, les rires pour une bête plaisanterie que je ne comprenais pas, et les fessés que les profs nous donnaient pour mieux travailler alors que nous ne pensions qu’au drôle tour suivant que nous allons leur jouer…toute cette innocence fût jetée derrière nos dos soudainement, sans nous laisser le temps pour respirer, tester la température des nouveaux défis de la nouvelle escale dans notre chemin. Certes, c’était la première fois que j’ai compris ce que les documentaires voulaient dire par : la vie est devenue rapide sans stop à cause de cette nouvelle culture de la technologie. Seulement oubliez la partie de la science, j’étais encore petite et elle n’a aucune relation avec le sujet.
L’été n’était pas si mal, la famille terrorisée au début en attendant les résultats du normalisé de la sixième année au primaire, l’attente nous a coutés la moitié des vacances, nous ne pouvons donc pas reprocher aux établissements publics, mais ne vous en faites pas, dix dirhams et vous êtes dans l’avant-ligne, ne soyez donc pas des avares de Molière. Revenons au sujet principal. La seconde moitié fût séparée en deux, la première de la joie, de la fierté, et de l’encens de ma grand-mère pour conjurer les mauvais yeux. Et la deuxième, pour le voyage pendant lequel ma mère m’a torturé en disant que j’étais devenue une snob, orgueilleuse avec le grand gros nez levé du bourgeois de Molière, tout cela car je me bagarrais avec mon cousin gâté qui me frappait, moi l’aînée. Où est le respect ? Je le pleure autant que mon sort.
Les vacances ont fini si tôt, et sans se rendre compte, les préparations pour les études ont commencé, cela sera plus difficile avec beaucoup de chose à faire, pour mon oncle, le professeur, et ma mère, moi je ne suis qu’une candide. Je devais changer de collège car celui où mon école m’a envoyé est très loin pour la petite de sa maman, et il portait le nom d’une date insignifiante : deux mars tel le boulevard de devant, alors que ma jolie merveilleuse école était nommée selon l’une des plus grandes et fortes civilisations qui ont gouverné le Maroc : les Almohades. En tout cas, je fus changée vers un collège près de la maison d’environ une demi-heure du souffle entrecoupé. Il s’appelait l’Andalous comme la ville, le paradis de la culture arabo-musulmane, nous l’avons perdue car les hommes commençaient à trop aimer les femmes. Donc, que disais-je ? AH, je suis allée alors à l’Andalous, et mon premier jour n’était point si bon, guère bon.
II) le collège
Je n’avais pas une blouse blanche avec manche, je ne pouvais pas entrer, imaginez-vous ? Ma maman n’a pas oublié de me recommander de courir pour prendre la place d’avant, et elle ne m’a pas acheté une blouse pour avoir l’accès à faire ses recommandations.
Après avoir pleuré et pleurniché et tout ce qu’une petite fille peut faire lorsqu’elle est dans une telle situation, maman a supplié une autre élève à m’emprunter la sienne pour le temps nécessaire qui me permettra à avoir mon emploi du temps puisque ce n’était pas son tour encore.
Entre vous et moi, je n’ai pas aimé cette nouvelle école, tout le monde criait, dès profs qui devaient, normalement, être plus imposants, jusqu’à les élèves, sauvages, sans offenses. Il y avait des arbres, de la verdure, qui égale pour moi les insectes dégoutants, que faire, ceux qui ont vécu dans les livres pensent que la présence d’une forêt est essentielle pour calmer les esprits, autres esprits et perturber le mien.
Une fois entrée, j’ai oublié les prières que je devais dire, et la course pour les tables du devant. Une fille m’a rappelé cela, quand elle m’a crié pour m’asseoir près d’elle, je croyais que la lumière divine m’encerclait alors que c’était le diable qui cherchait sa proie.
III) les nouvelles camarades
Khadija, la fille qui m’a invité à s’asseoir près d’elle, était bel et bien le soldat du mal, qui a blessé mes sentiments, sous respecté et humilié utilisant ma naivité à sa faveur.
Mais Rime était mon premier essaie sérieux pour lequel j’ai travaillé laborieusement pour le réussir, gentille et drôle, elle habitait près de chez nous, je l’ai adorée vraiment et je l’ai considérée une amie qui pourra me soutenir de derrière si je tombe.
La première année passa sans problème, satisfaisant ma famille des notes et gagnant de nouvelles amies. Quoique je n’aie point pu garder contact avec les anciennes, surtout ma chère Majda qui ne m’a rendu visite qu’une seule fois, puis a changé de logement, je pense. La deuxième année était plus difficile, car la compétition pour le premier classement sur le niveau de l’école était plus dure. Nous étions comme les petits Keeshonds des profs et directeurs. Malheureusement, les règles strictes, les rares activités parascolaires et les ennuyeux manuels ne nous transformaient qu’une marmaille d’idiots robots.
VI) la nouvelle directrice
La nulle école accueilli en 2002 une nouvelle directrice qui a travaillé durement pour permettre à cet établissement publics négligé à conquérir la première place parmi les écoles des environs ; elle n’a trouvé que les fêtes et les activités pour atteindre son but, et bien sûr c’est aux bonnes étudiantes à l’accomplir, cette mission, sans snobisme, j’étais l’une des victimes.
Personne ne me comprenait en effet, tout le monde croyait que je vivais la merveilleuse parfaite vie alors que je souffrais de l’intérieur, il n’y avait que ma pauvre maman et la famille à en savoir, je pleurais tout le temps si quelque chose n’allait pas bien, je faisais de mon mieux pour ne pas laisser les autres me dépasser, j’étais jalouse et exténuée et cela brûlait doucement et péniblement mon cœur et beaucoup de filles me détestaient pour cette raison, m’insultaient en mon absence et ne pouvait supporter ma présence. Sans oublier celles qui ont pris avantage de mes connaissances pour améliorer leurs compétences. Néanmoins, je n’ai appris cela que selon la douloureuse façon.
Un jour, après une fête, les filles voulaient s’entraîner à jouer une pièce théâtrale que j’ai écrite sur le terrorisme à l’occasion du 16 Mai, une date qui mémorise les explosions à Casablanca. Une autre façon pour remplir les petits cerveaux des petits naifs des idées des autres, dès médias jusqu’à le gouvernement. Croire ce qu’ils nous veulent croire, c’est leur flambeau.
Bon, j’ai refusé de participer car je savais que je ne pouvais pas contrôler 28 actrices, au cas où j’ai oublié de mentionner, c’est une école de filles. Je suis allée à la librairie pour le calme quand j’ai rencontré ma merveilleuse prof de français qui m’a informé que nous allons étudier, alors la rumeur de temps libres dès 17h était fausse et cela était mauvais pour mes autres camarades et je n’ai pas bien sûr eu le temps de les informer, je savais qu’elles seront contre moi et me torturerons pour le reste de ma vie, mais que pouvais-je faire ?
Entre vous et moi, j’étais excitée de voire leurs réactions quand la maîtresse les jettera dehors. Et bien sûr comme j’ai prévu, j’étais encerclée de haine ce que je n’ai guère apprécié, et c’était à ce moment là que ma relation avec ma soit disant meilleure amie : Rime, a commencé à virer mal.
Un jour, mon père avec qui ma mère est divorcé et avec qui ma relation est si forte : nous avons la même ADN, est venue me voire à l’école, la seule explication c’est qu’il était sur mes pas. Il a demandé, avec n’importe quelle excuse, ne pas avertir ma pauvre maman, je n’avais pu que pleurer, et refuser sa rencontre, il n’avait jamais revenu après, maman a fait un scandale à l’école, et ma famille a essayé le mieux pour me gâter durant cette période, elle avait peur pour rien selon mon opinion. Une des femmes de mes oncles, que j’hésite à appeler tante, car la sœur de ma mère est plus précieuse m’a parlé d’un coup de téléphone qu’elle a reçu de lui, la suppliant de m’emmener à sa rencontre, et c’est lorsqu’elle a parlé à ma petite sœur. Moi j’ai une sœur, qui pouvait imaginer cela ? Moi qui se sentais si seule ?
Nous n’avons plus parlé de ce sujet, je ne sais pas pourquoi, mais que dire d’ailleurs ?
A part ceci, tout allait pour le mieux, j’ai réussi avec succès, j’ai participé à un café littéraire où nous avons joué une autre pièce théâtrale que j’’ai écrite, je me croyais un Molière qui se lançait dans sa carrière puisqu’elle parlait des biens fait de l’avarice. Maman est venue me voire avec Kamal après avoir tourné sur tous les collèges car je les ai donnés une fausse adresse. Ah, autre chose, j’ai mis le voile, ce que mes tantes, ma mère et ma grand-mère n’ont pas aimé, cependant j’étais la fierté de mon oncle Kamal, mais j’ai remarqué que les non voilées croyaient que je les juge, et que je suis raciste envers elles, franchement, je ne respecte guère les habits qui ne couvrent pas toutes les parties du corps, une croyance que ma maman a planté en mon fond, et je pense qu’elles ne sont que les restes de l’étoffe qui a fait mes habits. D’autre part beaucoup de camarades insistaient sur le fait de le mettre après s’être mariées pour trouver un homme, je pensais que ce dernier doit être jaloux des autres qui regardent sa femme, ou sa future femme ou même sa petite amie, alors, ne doit-il pas l’encourager à le mettre avant tous ? D’ailleurs je l’ai mis directement après la puberté vers le commencement de Ramadan, je suis seulement heureuse car on ne la célébrait pas publiquement comme le peuple des Apaches du nord de l’Amérique, car cela serait vraiment humiliant et embarrassant. Je ne vais pas discuter plus ce sujet.
V) la troisième année du collège
Dans cette année, j’étais séparée de toute les filles que je connaissais, j’étais mise dans une classe ennuyeuse où toutes les camardes étaient paresseuses, et les professeurs ne bougeaient pas un orteil pour les pousser à travailler et nous aider à s’améliorer. L’absence de compétition m’a noyé dans un abîme de négligence et par conséquent j’ai tout laissé tomber, les études, les activités et même ma famille car elle n’a pas fait aucun effort pour me changer de cette grotte. Quelques années après, j’ai réalisé que les notes des devoirs ne montrent point combien la personne est gentille, j’ai vraiment perdu l’occasion de les connaître, peut être, elles détestaient les maths, amis elles ont d’autres capacités, comme leur ruse qui va bel et bien les aidait dans la réalité.
D’autre part, ma séparation de Rime a agrandi le fossé entre nous, et puisque mon innocence insistait sur sa pureté et son amitié, je souffrais et je pleurais sur l’épaule de ma mère chaque nuit, elle a rencontré une autre amie qui l’accompagnait sur le chemin vers l’école et parlait son langage.
Vous avez hâte à l’explication, vous avez raison, qui peut comprendre les adolescents plus qu’une adolescente elle-même, celle qui a l’accès au colisée vénéré.
Voyez-vous bien que les jeunes ont une culture spéciale, leur propre qui se limite malheureusement durant ces décennies, sans vous faire peur à : la music, les vêtements et l’argot, c’est cela le problème qui a engendré le fossé entre génération, comment pouvez-vous communiquer avec eux si vous ne connaissez pas leur langage ; et il y a aussi les autres choses comme les boîtes de nuit, l’internet…
Si vous n’avez pas compris encore, Rime et son amie popcorn, discutaient des garçons, des délices des petits amis, du si mauvais look de la fille du derrière dans les cours, des produits de maquillages… celle-là avait un « boy friend » qui lui envoyait des messages d’amour, des chansons. Je sais, je sais ce que vous pensez chers parents : comment a-t-il pu accéder à ma petite fille pure ? Je vais jeter ce mobil. Mais n’oubliez pas que c’est le petit fils pur d’une autre famille.
Un matin, l’annonce de la grossesse d’une élève d’environ 12ans a fait un boum, elle disait qu’il lui a promis le mariage, qu’il disait qu’elle était jolie et qu’il l’aimait, les choses que nous entendions tout le temps dans les films mexicains avec des bouche bée, salive tombante, rêvant de la nuit de la princesse Cendrillon. Actuellement, je ne peux nier le fait que les garçons rêvent aussi, mais avec la puberté, et le sperme stocké qui fait mal, les désirs sexuels sont plus forts, plus forts que la raison, la religion et le sens de la responsabilité et la conscience qui leur montre que prendre soin d’une famille n’est pas si facile comme les films que leur montage s’arrête avec le mariage du couple héros. Et le plus important, c’est que notre gentille société va les mettre à l’écart, les coutumes marocaines n’acceptent guère les filles avec un bébé à la main, elle va leur donner un coup de pied dans les fesses vers l’extérieur de chaque maison.
En tous cas, j’étais innocente et naive et ce genre de choses ne m’intéressaient point, alors les filles de mon âge s’éloignaient de moi, et je ne peux dire que j’étais l’unique de mon espèce, le souhait de chaque père.
Bon, j’ai fini l’année dans la dépression et le stress, et avec un résultat que j’ai pleuré durant tout l’été, j’étais la troisième à l’école, imaginez-vous combien je ne remerciais jamais assez la bonté de Dieu ?
VI) le lycée
Le lycée est un autre cycle, le cycle de la maturité. J’ai remarqué avec la dure façon que les études, le plaisir des profs et les règles strictes n’étaient pas la seule chose dans la vie, que je devais élargir ma vision, la rendre plus panoramique. Alors, j’ai commencé à lire beaucoup d’histoires, à correspondre avec des françaises, à écrire et à entendre de la music. Je ne vais pas bien sûr réciter le bête discours, s’ouvrir sur d’autres civilisations, apprendre d’autres coutumes et échanger les connaissances, car la vérité que tout le monde niait, c’est que je le faisais car c’est ce qui doit être fait, je ne sais pas qui a créé cette loi, mais toute l’humanité la suivait et sur terre, je parle aux extraterrestres, si tu marches au contraire du torrent, tu vas te noyer. Mais, pour un moment, je ne m’ennuyais plus, et je ne me réveillais plus avec des maux de tête, mais cette nouvelle activité qui a rafraichi ma vie est devenue très rapidement une temporalité vide avec l’habitude de faire les choses, je commençais bientôt à penser que mon livre de vie ne contenait que ma date de naissance et de mort, et que personne ne se rendra même de mon absence. Le travail laborieux continua, les études pénibles aussi, mais cette fois j’étais une arabe et je n’ai pas fait la même faute, j’ai réduis mes activités parascolaires autant que j’ai pu, en vain à un certain point ; mais le sommeil, me torturait toujours, je le détestais autant que j’en avais besoin.
Ah, pour ne pas être pessimiste, le bénéfice c’est que j’avais mon propre argent de poche qu’à peine apprenais-je comment la gérer alors que l’amie de Rime a organisé une boum avec : sorte de fête.
VII) une maman prof
Une maman a demandé à l’une de ses élèves préférées de suivre son fiston qui participait à ce genre de fêtes, le pauvre soufra. En effet, je crois que ma mère me suit parfois, car, une fois, elle a reconnu l’heure de mon rendez-vous sans que je la lui dise. Si je suis une bonne jeune fille polie, je dirai qu’elle a le droit même d’acheter des instruments d’espionnages, mais si je ne suis qu’une simple adolescente, je dirai que j’ai besoin de la liberté et l’indépendance et j’ai le droit de sa confiance.
VIII) la fille violente
Lors d’une séance sportive, il y avait une copine qui frappait tout le monde dans son chemin, poussait tout le monde même ses coéquipiers, garde le ballon pour elle seule, et courrait dans tous les sens avec des mains qui gesticulaient sans cesse dans l’air…A midi, je l’ai vue dans une bagarre avec trois filles dans la rue, et elle était gagnante, elle les soulevait dans l’air, les donnait des coups de poings sur le visage laissant ainsi des tâches rouges qui vont bientôt tourner bleues.
Nora, la fille d’une prof, snob, qui se méfiait de tout le monde, et voyait les gens riquiqui puisqu’elle est, selon elle, au sommet…savait tout sur toutes, cette violente agressif camarade haie par tous était l’aînée de quatre, orpheline de la part maternelle et ne communiquait point avec sa belle mère qui l’a frappée comme son père faisait d’elle, une façon de vengeance de l’homme. Certes, la violence engendre la violence. D’ailleurs, elle est gentille pour moi.
IX) les mutants
Au milieu de l’année, le lycée organise une journée de sensibilisation des dangers du sida, le mode de transmission du virus, et les préservatifs. Ha, ça fait rire, tous les jeunes sont contents car les relations extraconjugales sont ok si tu n’oublies pas les moyens de prévention. De toute façon, nos recherches nous ont menées aux phénomènes du siècle : les homosexuels et les transsexuels. Au début, tout le monde cru ceci cool, forme de mutation, les X-men de l’année… jusqu’elles ont réalisé comment cela était humiliant, défiant le Dieu et son désir, combien cela déséquilibrait les équations naturelles. Quelles raisons ont-ils ?
Vous savez quoi ? Je crois que l’humanité a tant exploré jusqu’à l’ennui alors elle commença à jouer avec la nature. Par exemple, on disait sur les petits qui ne s’arrêtaient de courir et bouger, un enfant turbulent, alors que maintenant il est un malade qui souffre de l’excès de l’énergie ou n’importe quoi. Ils sont fous ???!!!
X) l’examen régional
La deuxième année du lycée était très difficile, les études ont pris tout mon temps car je devais passer un examen régional à la fin qui comptait 25%du total de mon résultat final, car les devoirs écoliers de l’année prochaine compteront 25% et l’examen national 50%, remarquez-vous le labyrinthe du ministère, certes, nous sommes des marocains purs. Pourtant, le taux d’échec est très élevé chez nous, chacun reproche celui que personne ne reproche : les correcteurs, la pédagogie, les manuels, les profs, les parents et les élèves… peut être la sècheresse dont le Maroc souffre ces dernières années aussi.
Quoique personne ne peut nier les efforts des étudiants, ils ont bien révisé, et ont beau cherché des informations sur les universités du futur, sachant bien que les pistons renforcent la discrimination. Tout le monde plaigne et reproche à tout le monde. C’est donc, normal la dépression chez les adolescents et les hormones n’aident point. Et le sous développement du pays n’est pas une chose positive, car nous avons besoin de jobs, nous sommes le futur, et la force productrice est très faible, sérieusement.
XI) la dépression et le stress
Cléopâtre, la reine égyptienne qui a obtenu le respect des jeunes et leur amour surtout pour sa beauté, celle-ci se suicida après sa défaite à la bataille d’Actium, elle était fatiguée, ennuyée, d’une humeur maussade et a perdu le plaisir de vivre puisque rien ne comptait, son trône est détruit, et son corps féminin n’est pas assez robuste pour supporter la sensation de la faute.
Faites attention chers parents car tout ce que j’ai mentionné ne sont que des symptômes de dépression qui, de nos jours, n’a pas une cause précise, vous pouvez la confondre avec l’influence de la drogue mais, chercher ne fera mal à personne. Après le régional, et les résultats que personne n’attendait, tout le monde était déprimé, moi inclus. Autre chose, un voyage ne fera pas de mal pour diminuer le stress de la pression des études et se préparer pour le bac. Les familles doivent oublier un peu l’importance d’apprendre sur l’historique de la ville visitée, apprendre tout le temps n’est pas une chose de relaxant, allons perdre de l’argent dans les marchés sur les stupides marchandises, me comprenez-vous ?
XII) timidité et confiance en soi
Cet été, je suis sortie avec quelques amies de temps à autre c’est lorsque j’ai réalisé à quel point j’étais timide et je n’avais aucune confiance en moi, je ne pouvais parler aux vendeurs car j’avais crainte qu’ils me jugent et c’est ce qu’ils vont faire puisque nous sommes dans un monde matérialiste. Je rougissais quand je parlais à quelqu’un que je ne connais pas, et j’évitais le contact de mon mieux avec les gens que je connaissais mal, ce qui m’a couté la perte de beaucoup d’opportunités, maman m’hurlait tout le temps à cause de cela, et mes amies se moquaient croyant m’encourager, vainement. Mais quand j’ai vu l’état de ma cousine Hiba, j’ai essayé d’être plus courageuse. Cette fille est un peu négligée de la part de sa famille, si l’expression est correcte, car elle reste toujours dans l’ombre, le contraire de sa sœur, mais que faire, la pousser en plus d’extras activités, personne ne sait. Le temps restera maître de la situation.
XIII) la fin
Bon, je ne peux plus écrire, je suis fatiguée, alors pour ceux qui n’ont pas compris. Ce petit récit autobiographique est comme un guide de parents, si vous voulez, pour leur donner des flashs sur la vie des adolescents, leurs soucis, leur ouvrir une porte vers leur mémoire. Si vous avez remarqué le tout est autour de :
_la famille : les coutumes, la religion, les relations entre générations. Quelqu’un doit baisser les bras et abandonner, et ce ne sera pas les jeunes, se sont les parents, les familles, les profs, doivent parler un peu leur langage au sens figuré et savoir quand être sévère et quand ne pas l’être.
_la culture des jeunes : les amis(es), l’affection, les garçons, la sexualité, les looks, la music, les médias…il faut bien surveiller les choses, pour ne pas être influencé surtout par la vie des célébrités. Cendrillon n’existe pas.
_l’école, les camardes taquinant, les études, l’université, le travail et les passions.
_société : les jeunes est l’audience la plus sévère dans ses critiques, elle attend beaucoup de son pays, et comment le réaliser n’est guère son souci.
Les adultes autant qu’adultes doivent trouver un chemin à l’esprit des jeunes pour régler les problèmes de la difficile période de l’adolescence ; et les jeunes ne sont pas l’équipe qui va sortir du terrain du défi la première, elle est vraiment la plus têtue, et vous ne voulez pas la fugue comme solution dans sa tête.
Bonne chance !!! .
prenez votre temps à trier les sujets implicites discutés dans cette histoire.

Commentaires (3)

Reda le 14/06/2009
Vraiment, j'ai bien aimé ton petit recit, mais je suis un peu decu comme meme qua tu ne mets plus d'articles :(
je me suis regalé en visiatant ton blog,et j'espere vivement que tu lui redonne vie en ajoutant tes delicieux articles ^^
cordialement, Reda


Anonyme le 05/12/2010
C'est quoi cet article qui sert à rien, il s'est absolument rien passé dans ta vie, tu nous décri juste une petite gamine sans intérêt, coincée dans des préceptes complètement dépassés, et qui en plus veut donner des leçons aux parents hahahaa ben si c'est pour que ma fille devienne comme toi non merci!
en plus avant d'écrire en français, faudrait quand même l'apprendre correctement, ya pas une seule phrase qui est correcte dans ton texte.


. le 11/12/2012
Peut-être es-ce dû à mon manque d’expérience mais je trouve cette extrait trop 'adultes'.Moi qui cherchait comment écrire une autobiographie sur l’adolescence je trouve que sa ne correspond pas à mon sujet...


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