Je suis furieuse la plupart de ces temps à cause du charabia de nos jours. A chaque fois que j’ouvre un forum, il y a principalement une fenêtre destinée au sujet sexuel. J’avoue il est attirant, il est tabou, il est essentiel quoiqu’il doit être plus décent, mais ce n’est point ce que je veux discuter avec vous aujourd’hui. Ce qui m’intéresse, c’est les débats sur la virginité.
Dans une discussion, des non-musulmans furent bien très fâchés et opposèrent sa considération autant qu’un critère pour le mariage dans notre religion ; elle ne l’est bien pas, puisqu’une veuve ou divorcée, ou une femme qui a quitté son mari vue son impuissance ou bien même une victime du viole peuvent bien avoir un mari, en effet un nouveau, aussi bien qu’une gymnaste. A part ça, un certificat de virginité est obligatoire.
Cette qualité ne considère pas uniquement la fille, mais aussi bien le garçon.
La virginité est bel et bien une question de pureté, d’honneur, de sainteté, de respect, de pudeur, de fraicheur, de chasteté, de vertu, et de protection contre IST, grossesse illégitime…
Les discussions qui nous jugeaient, impliquaient des gens de la Belgique,…, de la France, cette dernière, pays de la lumière et de la justice, juge les principes d’une autre religion en vue de les critiquer et non de se les éclaircir. La mienne m’interdit cette discrimination alors je ne vais pas pouvoir discuter l’absurdité de vénérer une vache dans le hindouisme dans un âge aussi important dans le progrès scientifique et le développement culturel, ni discuter le fait d’empêcher les hommes et femmes de religion dans le christianisme de se marier, c’est un droit naturel de déguster un tel plaisir civilisé qui est la famille et la persévérance de son nom et l’existence de ses principes et convictions des millions d’années futures d’une part, et d’assouvir la joie animale réelle, présente et incontestable d’autre part. Nos hommes de religion se marient et complètent par cet acte moral et décent leur devoir envers dieu selon le coran. Mais que puis-je, ma religion m’empêche complètement d’en discuter par respect à toutes ces croyances. Mais certainement, elle ne me défend point de mentionner que le christianisme donne autant de valeur à la virginité.
Je ne sais pas pourquoi on s’y attaque, si c’est une question de religion, nous avons, selon la charte des droits de l’homme, de pratiquer librement nos convictions. Et si c’est une question de choix, je vous assure que la femme a le choix, personne ne la force de conserver son hymen comme personne ne se rendra compte si elle la perd. Elle a le choix de valoriser son soi et compléter son devoir envers Allah, ou ignorer ce chemin en vivant. Aussi bien que les hommes ont leur liberté de ne pas la choisir autant que conjointe.
J’ai fait un sondage, il préfère, il estime et il admire la vierge plus sincèrement, question de respect mutuel, d’innocence, de jeunesse, de naïveté, d’éclat, et plus important encore de prouver son hommasse à son épouse, à l’unique, à la divine, au choix ultime, à l’espoir timide de s’installer calmement autant qu’un homme de famille digne jusqu’à la tombe.
Enfin, je veux seulement ajouter, mais j’ai oublié, je ne peux pas critiquer ni s’opposer au fait que par exemple dans la culture américaine, diffusée dans la télévision à travers ses célébrités qui sont bel et bien considérées l’une des forces les plus pesantes et obligeantes dans ce pays, je ne peux critiquer la pression que subissent leurs jeunes adolescentes à propos de ce sujet, chaque relation qu’elles mènent, si elle est de long terme, elle doit nécessairement finir par un rapport sexuel, surtout « the prom night », c’est comme une sorte de cérémonial de défloration ; désolée chers lecteurs je ne peux même pas susurrer cette opinion puisque ça méprise une autre culture. Nous devons s’accepter pour vivre en paix, non ???!!!
En conclusion, Alexandre Dumas, fils, a dit : « l’amour physique, cette énergique conclusion des plus chastes impressions de l’âme ». J’approuve son affirmation, lui et elle, doivent être précocement choisis, tolèrent l’un l’autre, fiers d’être ensemble, près à partager la splendeur de l’événement avec dieu, la loi collective et la famille entière.